LES JEUNES S ENGAGENT POUR NOTRE PLANETE
Objectif général :
-etudie : acquérir des compétences disciplinaires à partir d'une langue étrangère, développer des compétences en lecture pour obtenir des informations de base, pratiquer la prononciation correcte des mots étrangers, reconstituer le vocabulaire, pratiquer l'utilisation d'unités lexicales
-développer :
développer les compétences clés des éléves, développer la capacité de s'exprimer dans une langue étrangère, développer la capacité de donner des réponses aux questions, développer l attention, entrainer la mémoire.
Les savoir-faire-
la capacité de lire et de le comprendre, la capacité de donner son opinion à l'oral et par écrit, l'espris critique, argumenter son opinion, le sens d'initiative, créer, résoudre des problèmes, prendre des décisions, gérer les émotions, la capacité de colaborer en collectif
Compétences cles - Communication en langue étrangère
Sens d'initiative et esprit d'entreprise
Conscience et expression culturelle.
Matériel : l'extraits vidéo, fiches, cartes, illustrations.
Méthodes : interactive (travail de groupe ), dialogique ,monologique
Résultats attendus :
A la fin de la leçon, les éléves doivent :
être capable d'utiliser correctement les unités lexicales dans un sujet donné, être capable de poser et de répondre à des questions, être capable de dialoguer sur des sujets donnés.
Chers(es) collègues!
Préparez votre tasse de thé chaud pour des échanges passionnants sur un thème que vous avez largement suggéré: LES JEUNES S ENGAGENT POUR NOTRE PLANETE
Ce café sera dedié au sujet: Vie responsable
Révélez votre ame de citoyen et partagez votre experience! La parole sera à vous: présentez, discutez, écoutez,créez des nouvelles idées!
Aujourd hui nous avons 3 équipes pour travailler:
1 Et votre premier devoir
Présentez votre équipe ,s il vous plait dans une courte video en répondant aux questions:
2 Connaissez- vous cette expression?
Ce n’est pas la mer à boire- Це не проблема
Composez des phrases avec cette expression et les gestes écologiques:
3 Réflechissez , puis répondez:
si tous les gens sont résponsables ?
a) Le réchauffement climatique est-il causé par l'homme ?
Les rayons du Soleil frappent notre planète, la réchauffent et repartent vers l'espace en traversant notre atmosphère.
Certains gaz, comme le dioxyde de carbone, empêchent une partie de ces rayons de s'échapper dans l'espace et les renvoient vers la Terre… ce qui la réchauffe encore.
Ce phénomène, appelé « effet de serre », est naturel.
L'activité humaine produit des gaz à effet de serre, près d'un tiers de ces gaz sont produits par les transports.
Et les usines et l'agriculture produisent aussi des gaz nocifs pour le climat.
Certains doutent encore, car dans le passé, il y a eu de grands changements climatiques.
Le réchauffement climatique que nous connaissons est trop rapide, ce n'est pas naturel. Alors, arrêtons de nous demander si l'homme est responsable et agissons ensemble pour trouver des solutions.
b) Comment se déplacer sans polluer ?
On sait que le vélo est le mode de déplacement le plus rapide dans les grandes villes.
Marche, roller, vélo... autant de modes de déplacement qui ne dégagent pas de CO2.
De plus en plus de villes installent des stations-vélo payantes.
Pour des trajets plus longs, les voitures électriques sont une option moins polluante.
Certaines pourront même être rechargées par panneaux solaires.
Dans les zones isolées, on peut même faire venir un minibus pour le prix d'un ticket.
Sinon, embarquer des passagers en co-voiturage plutôt que d'utiliser chacun sa voiture permet de limiter ses émissions de CO2.
Et dernière idée pour moins polluer : l'auto-partage, qui consiste à louer sa voiture à d'autres conducteurs quand on en a pas besoin !
c) Comment réduire les déchets ?
Chaque seconde, dans le monde, l'homme produit plus de 100 tonnes de déchets.
Et quand ils sont stockés dans les décharges, jetés dans les océans ou brûlés, ces détritus polluent.
Avec quelques gestes simples, il est pourtant possible de mettre nos poubelles au régime.
Alors comment fait-on pour moins jeter ?
Moins jeter, c'est d'abord moins gaspiller.
Acheter en petites quantités évite de se débarrasser d'aliments périmés qu'on n'a pas consommés. Autre astuce : préférer des produits avec moins d'emballages en plastique ou en carton.
Quand vient le moment de jeter, on s'amuse à trier pour ne pas mettre tous nos déchets dans la grande poubelle.
Épluchures, pain sec ou coquilles d'œufs : direction le composteur.
Dans ce récipient, ils se transforment en engrais pour les plantes.
Papier, carton, verre ou plastique se mettent dans des conteneurs spéciaux pour être recyclés. Ampoules, piles et matériels électroniques se déposent dans des bornes, à l'entrée de nombreux magasins.
d) C 'est quoi, le développement durable ?
Le développement durable est l’idée que les sociétés humaines doivent vivre et répondre à leurs besoins sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins.
Concrètement, le développement durable est une façon d’organiser la société de manière à lui permettre d’exister sur le long terme.
Longtemps, l'homme a pollué et surexploité les ressources naturelles… sans réaliser que cette façon de faire n'était pas durable.
Elle satisfait des besoins et des désirs immédiats, mais menace le devenir de la planète et de ses habitants.
Heureusement, depuis 40 ans, une prise de conscience a donné naissance à la notion de « développement durable ».
Le développement durable permet de répondre aux besoins des générations actuelles, MAIS sans nuire aux générations futures.
Pour un agriculteur, cela peut consister à modérer son arrosage, et à cultiver bio.
Pour une entreprise, c'est par exemple choisir les trains plutôt que les camions pour le transport des marchandises.
Le respect de la nature… et des êtres humains
Le développement durable oblige donc à réfléchir aux conséquences de tous nos actes au quotidien.
Et chaque citoyen peut agir : en arrêtant de gaspiller, ou en achetant des produits fabriqués dans le respect des hommes et de la terre.
e) Comment les pays peuvent-ils agir pour le climat ?
Depuis plusieurs années, les scientifiques constatent que la Terre se réchauffe.
Ce réchauffement a plusieurs causes et il est accéléré par l'activité humaine.
Si la température augmentait encore de deux degrés à l'échelle mondiale, ce serait catastrophique pour tous les êtres vivants.
Il faut donc que tous les pays agissent ensemble pour l'éviter
Depuis 1995, presque tous les pays du monde se mettent d'accord pour agir contre le réchauffement climatique.
Pour certains, c'est l'occasion de montrer au monde qu'ils peuvent devenir un exemple à imiter.
f) C 'est quoi, la biodiversité ?
Les plantes, les champignons, les animaux, sans oublier les hommes… c'est tout cela la biodiversité, et même plus encore puisque ce sont aussi les lacs, les montagnes, les forêts…
La biodiversité, c'est donc l'ensemble des êtres vivants et des milieux naturels.
Mais également toutes les relations qui s'établissent entre eux.
L'homme en est le premier exemple. Sans forêts ? Pas de bois pour construire et se chauffer…
Sans végétaux ? Bien difficile de se soigner car plus de 70 000 espèces de plantes servent à fabriquer des remèdes.
La biodiversité, un trésor menacé
Ainsi, la biodiversité représente un trésor d'équilibre où chaque élément a son utilité.
Or, aujourd'hui, ce trésor est menacé par les activités humaines.
On pêche trop de poissons, on coupe trop de bois, on rejette trop de produits chimiques sur les sols… Résultat : le nombre d'espèces animales et végétales diminue, ce qui menace la vie de millions d'êtres vivants.
Mais il existe des solutions !
Par exemple encourager l'agriculture bio, replanter des arbres, ou encore développer les aires protégées.
g) Comment sauvegarder les océans ?
Les trois quarts de notre planète sont recouverts par 5 océans reliés entre eux. Cette immense surface abrite des ressources naturelles de grande valeur, comme le poisson ou le pétrole.
Les océans sont aussi précieux pour l'homme car ils produisent la moitié de l'oxygène que l'on respire. Malheureusement, une pêche intensive, trop de forages pétroliers et de nombreux transports maritimes font beaucoup de pollutions.
Sans compter les tonnes de plastique qui, chaque année, mettent des milliers d'espèces en danger ! C'est pourquoi des associations écologistes ont alerté et des pays ont pris des mesures pour venir en aide aux océans, en interdisant la surpêche, par exemple.
Ou en réduisant l'utilisation du plastique pour éviter les déchets nocifs.
Aussi, des aires marines protégées ont été créées pour préserver la faune et la flore.
Car la bonne nouvelle c'est que l'océan, s'il est protégé, peut se régénérer.
h) Dans quel monde vivra-t-on en 2050 ?
À quoi peut ressembler une vie en 2050, dans un monde ayant jugulé ses gaz à effet de serre ?
Nous vivrons sans doute dans des logements très différents et plus ludiques.
Nos bâtiments deviendront des sources d'énergie, ils seront envahis de panneaux solaires.
Les fenêtres deviendront intelligentes, elles seront transparentes le jour et lumineuses la nuit.
Les bons vieux éclairages à interrupteur n'existeront plus, l'ambiance sera gérée automatiquement et avec moins de dépenses énergétiques.
Dans 50 ans, la voiture d'aujourd'hui aura disparu.
Les transports seront beaucoup plus efficaces et très modulables.
En ville, nous nous déplacerons en commun dans de petits véhicules ou en tramway.
Pour aller d'une ville à l'autre, on se délassera dans des TGV bien plus rapides qu'aujourd'hui.
Ils seront alimentés par des éoliennes disposées le long des voies.
En revanche, il faudra probablement faire une croix sur les voyages très lointains en avion car leur dépense énergétique continuera à être très coûteuse.
Que mangerons-nous dans 50 ans ?
Des bons produits locaux et de saison bien sûr !
La viande provoque beaucoup d'émissions de gaz à effet de serre à cause de l'énergie que sa production nécessite.
Il faudra donc faire évoluer le goût de nos enfants et les habituer à un régime plus varié.
Ce monde sera différent du nôtre, mais il ne sera pas nécessairement moins agréable à vivre - bien au contraire ! Il reste à l'inventer et à le mettre en place assez vite.
Car si l'humanité ne réduit pas ses gaz à effet de serre, le monde de 2050 sera nettement moins enthousiasmant : climat déréglé, tempêtes, canicules, réfugiés climatiques, guerres pour l'eau et le pétrole, misère extrême, destructions de la biodiversité.
4 Pour nous distraire, je vous propose de chanter la chançon: “ Qui pourrait? ”
5 Vous avez le devoir à créer un écoprojet
Regardons les video:
L ‘équipe 1 :
C'est quoi, les jardins « à la française » ?
L'expression « jardin à la française » désigne un style de jardin raffiné et très organisé.
Ses caractéristiques : des formes symétriques, des effets géométriques et des jeux d'eau presque magiques !
Au détour des allées et des pelouses impeccables surgissent des fontaines extravagantes.
Véritable architecture végétale, le jardin à la française symbolise la domestication de la nature.
C'est Le Nôtre, le jardinier de Louis XIV, qui popularise en France ce style d'origine italienne.
Après avoir aménagé les jardins du château de Versailles, il est imité dans toute l'Europe !
Malgré son apparence rigoureuse, le jardin à la française n'est pas dénué de fantaisie : il peut jouer avec la perspective, les lignes et les motifs.
Aujourd'hui encore, on entretient les jardins de ce style dans plusieurs châteaux.
On les oppose souvent aux parcs « à l'anglaise », plus romantiques, tout en courbes et en foisonnement végétal.
Et au fait, quels sont les autres types de jardins ?
De nombreuses traditions se sont développées au fil du temps et dans les différentes régions du monde.
Jardin médiéval dans les monastères européens, jardin zen en Asie, jardin mural dans les villes… il y en a pour tous les goûts !
Et toi, quel style de jardin préfères-tu ?
À moins que tu ne préfères la nature à l'état sauvage ?
L ‘équipe 2 :
La Grande Barrière de corail
Dans les océans, au ras de l'eau, vit un minuscule animal en forme de tube, le corail.
Les coraux se groupent par milliers et leurs squelettes durs forment peu à peu un mur.
À l'est de l'Australie, dans l'océan Pacifique, ce mur est immense, deux fois plus long que la France ! C'est la Grande Barrière de corail.
Depuis quelques années, les coraux s'abîment.
Tout le monde se demande comment l'Australie va sauver sa Barrière…
Mais pourquoi c'est important de protéger la Grande Barrière de corail ?
D'abord, parce qu'elle est très ancienne.
Certaines parties de la Barrière ont 18 millions d'années : plus vieux que les hommes préhistoriques ! Ensuite, parce qu'elle abrite des milliers d'animaux différents.
On y trouve 1 500 sortes de poissons, 4 000 espèces de coquillages, et des baleines, des requins, des tortues…
C'est utile pour la pêche, les sciences et ça favorise le tourisme.
Cependant, les coraux sont très fragiles : ils ont besoin d'une eau propre, claire, entre 18 et 30 degrés. Plusieurs dangers menacent les coraux : le réchauffement et la pollution des océans, les cargos qui traversent la Barrière… et même une étoile de mer qui les mange.
l'Australie a donc créé un parc naturel autour de la Barrière : des lois empêchent de l'abîmer. l'UNESCO, a déclaré la Grande Barrière « patrimoine mondial de l'humanité ».
L ‘équipe 3 :
La grande muraille verte d'Afrique
C'est un projet de barrière végétale, de plus de 7 000 kilomètres de long et de 15 kilomètres de large. Elle doit traverser 11 États d'Afrique d'ouest en est, du Sénégal jusqu'à Djibouti.
Cette ceinture verte longe le désert du Sahara, car elle a pour but de freiner son avancée.
En effet, chaque année, le désert gagne du terrain et détruit 2 millions d'hectares de savanes et de forêts.
Ça veut dire qu'on construit un mur pour stopper ce désert africain ?
Non, car la muraille verte est surtout un symbole, fait de forêts, de jardins et de champs.
Au Sénégal, qui a les plantations les plus avancées, les résultats sont déjà très satisfaisants.
On y a planté des arbres résistants, comme l'acacia ou le dattier dont la sève et les feuilles sont aussi utilisées pour fabriquer des médicaments et des cosmétiques.
C'est donc également bénéfique pour l'économie du pays et ça crée des emplois.
Aujourd'hui, la barrière végétale n'existe que sur 15 % des 11 États concernés.
Débuté en 2008, ce projet est plein d'espoir pour l'Afrique mais très long à mettre en place.
6 Ecouter le texte:
C’est la compréhension orale
Avantages et inconvénients de vivre à la campagne
Les avantages
Dans un premier temps, l’installation à la campagne permet de respirer tout simplement.
L’air est pur et naturel et la différence avec la ville est immense.
Elle se sent et se ressent, et tout cela contribue à créer une sensation de bien-être, ce qui est évidemment important, lorsque qu’il s’agit du milieudans lequel on s’apprête à vivre quotidiennement. De plus, à la campagne, les espaces verts ne manquent évidemment pas, et on peut se balader sur demande, que ce soit à pied, à vélo, à cheval ou autre.
ar ailleurs, la campagne est un environnement très propice à une adaptation et des rencontres faciles. Les gens prennent plus le temps de dire bonjour, de sourire et de discuter.
Les enfants en bas-âge s’y sentent généralement épanouis, et ont la possibilité de jouer dehors en permanence, sans nécessairement votre surveillance.
D’autre part, s’installer à la campagne ouvre la porte à de nombreuses opportunités d’entrepreneuriat. En effet, cela peut être le moment pour vous de concrétiser un projet mûri auparavant ou non, d’ouvrir un commerce, dont bien sûr, il convient à vous d’identifier les besoins de la zone dans laquelle vous vous installez.
Enfin, rien de mieux que ne pas entendre le bruit des voitures, ou des voisins qui parlent vivement, ou écoutent la TV trop fort.
En effet, à la campagne, c’est généralement un calme permanent
dont vous pouvez profiter pleinement, notamment quand le soleil se couche.
Les inconvénients
Les principaux inconvénients sont liés à la distance.
En effet, vivre en milieu rural nous rend systématiquement dépendant de la voiture.
Que ce soit pour se rendre à son travail, aller à la poste, à la boulangerie ou faire les courses, tout ce dont nous avons besoin est généralement éloigné du domicile, ce qui nous fait passer pas mal de temps dans la voiture chaque jour.
Pour les enfants, c’est le même problème pour se rendre à l’école, au collège ou au lycée. Généralement ils doivent prendre le bus et cela peut parfois faire long, surtout si c’est tous les jours.
Habiter en milieu rural suggère aussi de travailler dans un secteur présent en milieu rural, ce qui n’est pas tout le temps le cas.
Il est évidemment plus simple pour un médecin de campagne, ou une infirmière de trouver un emploi rapidement que pour un cadre d’entreprise.
Renseignez-vous bien, et choisissez bien votre emplacement en fonction de votre activité professionnelle (nécessité de proximité ou non avec un milieu urbain).
Enfin, loin de la ville veut également dire loin de tous les divertissements culturels (cinémas, théâtres, musées, concerts…), certains d’entre vous y survivront mieux que d’autres, mais il est vrai qu’il est parfois difficile de s’en passer, surtout lorsque l’on vient d’une grande ville.
Au final, lorsque l’on prend la décision de s’installer en milieu rural, il est important de ne pas avoir d’a priori, puisque chacun peut façonner sa propre campagne en fonction de ses désirs et ses projets, mais également en fonction de l’idée que l’on se fait de sa nouvelle vie.
Il n’y a pas une campagne mais des campagnes, et c’est ici la principale différence avec la ville.
Et maintenant remplissez le tableau:
7 Faites l’ affiche: “La solidarité de nos jours”
Дз и конец урока прописать